Est-ce que le suaire de Turin nous raconte la résurrection de Jésus?

English abstract
The Resurrection of Christ as told by the Shroud of Turin
In an article published by Canada Free Press on March 27, 2016, author Bob Shoup contends that the image on the Shroud of Turin validates the story of the crucifixion and resurrection of Christ: “It is tangible scientific evidence that the foundational story of Christianity is real and not a myth. It is also incredibly strong evidence that Heaven is real”. Click here to read the full story. You may also want to read this recent article I published: Shroud of Turin : God’s calling card?

La résurrection du Christ telle que racontée par le suaire de Turin

Par Bob Shoup | Canada Free Press | 27 mars 2016

Traduit par Henri Thibodeau Henri’s Web Space

Vous pouvez librement reproduire cet article, mais sans en modifier le contenu et en mentionnant clairement l’auteur, le traducteur et la source, avec un lien actif vers l’article original.

L’image d’un corps sur le suaire

L’image qui apparaît sur le Suaire de Turin comporte deux éléments : des taches de sang, ainsi que l’image d’un corps, formée après que le tissu ait été imprégné de taches de sang. L’image du corps apparaît sous la forme d’un ombrage, et elle pénètre le tissu à une profondeur de seulement 20 à 30 microns (Fazio et coll., 2014).

L’image du corps a été formée par un changement chimique au niveau moléculaire de la cellulose du tissu (Jackson, 2014), preuve que l’image n’a pas été peinte. Alors, comment l’image du corps a-t-elle été imprégnée dans le tissu du suaire?

Une certaine quantité d’énergie s’est échappée du corps, dans toutes les directions (Fazio et coll., op. cit.). Cette radiation d’énergie est survenue tandis que le corps du Christ était ressuscité. Cette radiation a été libérée sous la forme d’une décharge électrique — un éclatement de lumière et d’énergie (Fanti, 2013, Adams, 2015). L’image du corps sur le suaire suggère également que l’image a été formée tandis que le suaire s’est affaissé en passant à travers le corps qu’il recouvrait (Jackson, op. cit.). Cela n’aurait pu se produire qui si la radiation à l’origine de l’image avait émané du corps du Christ tandis qu’il était ressuscité.

Qu’est-ce que cela signifie pour nous?

La plus importante religion au monde s’appuie sur la croyance qu’à Jérusalem, vers 33 apr. J.-C., un enseignant et prophète juif itinérant est mort des suites d’une crucifixion; et que, trois jours plus tard, il est revenu à la vie, accomplissant ainsi sa propre prophétie ainsi que plusieurs autres prophéties messianiques contenues dans la bible hébraïque, l’Ancien Testament (Adams, op. cit.).

L’image sur le suaire valide le récit de la crucifixion et de la résurrection du Christ. C’est une preuve scientifique tangible de la réalité du récit essentiel qui est à la base du christianisme, et qu’il ne s’agit pas d’un mythe.

Prince of Peace

C’est également une pièce extrêmement probante de la réalité du ciel. Le visage qui apparaît sur le suaire ressemble de très près à une peinture du Christ par Akiane Kramarik, qui a réalisé un portrait visionnaire de Jésus intitulé « Prince de la Paix ». Akiane a indiqué que la peinture est venue d’une visualisation de Dieu et de ses visites au Ciel (Art & Soul Works). La peinture de Jésus réalisée par Akiane a également été reconnue par le jeune Colton Burpo, dont la visite au ciel a été relatée par son père dans le livre Le ciel, ça existe pour de vrai et reprise dans le film portant le même titre (Vincent et Burpo, 2010).

Avec une preuve que la croyance fondamentale du christianisme n’est pas un mythe, et que le Ciel existe réellement, nous pouvons être rassurés en sachant que la mort n’est pas définitive. Ceux d’entre nous qui vivons de manière à être dignes d’entrer au Royaume de Dieu peuvent contempler une vie après la mort. Alors, la question que nous devons nous poser est la suivante : « Suis-je digne? » ■

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